Cette fois j'aimerais bien reprendre la plume de façon plus régulière. Car en ce moment tout ce passe bien. Je suis heureux en amour depuis plus de 2 ans et demi, et je suis actuellement en stage dans un magazine (ouais un vrai, le genre qu'on retrouve chez le marchand après). Depuis le mois de janvier je suis à la rédaction du magazine Photo. Bon certains se disent peut être que moi et la photo ça fait deux ... et c'est peut être pas faux. En tout cas ça fait pas trois, et ça me suffit pour me plonger dans ce monde que je ne connaissais pas très bien.

Au menu depuis 3 mois : vernissages, critiques de beaux livres photos, rédaction le blog du magazine. Le rythme pour le blog m'a rappelé celui qui était le miens pendant plus d'un an. Et à cette époque là mon blog était un blog ... photo ! Comme quoi on y reviens tôt ou tard. Mais je reviens sur mon stage. Cette fois j'ai en charge une page par mois, celle des livres. Mais comment fait on pour parler d'un sujet que l'on ne maîtrise pas tout en restant professionnel ? C'est simple : on prend l'argumentaire destiné à la presse, on vérifie trois fois ses infos, on pose des questions car on est pas un con, et généralement après 3 recalages, ça le fait.

Une fois le magazine entre les mains, quelle joie de voir pour la première fois son nom en haut d'une page. Et puis le rythme d'un mensuel me va parfaitement pour commencer. 2 semaines à glandouiller, 1 à bosser plus sérieusement, et la dernière à trimer comme un con. Mais je me plains pas, ma rédac chef fait parfois pire pour les bouclages (une nuit entière par exemple).

Bon j'arrête là et je me garde des anecdotes sous le coude pour plus tard.

… c'est mieux à deux. Voilà plus de deux ans que je suis avec ma merveille à moi, et nos projets avancent gentiment. À la fin du mois, nous nous rendrons dans l'hôtel qui nous fait rêver et baver depuis tout petit (mais que j'ai pu découvrir il y a plus de dix ans) : le Disneyland Hôtel.

Pourquoi rater une bonne occasion de faire plaisir pour moins cher que prévu ? Attention, je dis pas que c'est donné (oh l'autre eh !), mais une belle réduction.

Autant dire que l'on a très hâte de pouvoir y aller, franchir le pas de la porte de notre chambre et d'en profiter pour deux nuits. Le pied ! Et croyez bien qu'on en profitera de A à Z. Piscine, sauna, hammam, restaurants, petits déjeuners avec les personnages Disney, service d'étage (tant que c'est gratuit).

J'ai déjà hâte d'arriver avant mon ange, d'aller au check-in, et préparer une petite surprise si possible. Et le premier restaurant le soir même, s'endormir serein, sachant que le lendemain matin ne sera pas pressé (pour changer). Passer un samedi plein de douceurs, de tendresse et de … paresse. On va pas se priver !

J'ai envie de sortir de ce week end bien heureux et comblé, accessoirement plein grâce aux deux restaurants et aux autres repas. Finissons repus. En pleine saison de Noël, ce sera une part de rêve que l'on va s'offrir pendant deux jours et deux nuits. Sapins, (faux) cadeaux, musiques de saison, froid dehors et chaud dedans ...

Crédit photo du Disneyland Hotel : DLH Fan

Certes depuis 2 ans la plupart de mes articles concernent ces ponctuels anniversaire, mais vous savez quoi : je m'en fout. C'est si bon d'aimer, alors fêter chaque mois qui passe, luttant contre la monotonie qui devrait s'égrainer à son tour, ce n'est que justice pour quelqu'un comme moi qui a attendu l'amour des années durant.

Je dis deux ans mais je suis un peu en avance sur mon temps, je l'avoue. J'ai hâte, envie d'y être. Prouver à certains que notre amour tiens, et fait même plus que cela. Il vit et s'épanouit au lieu de sombrer à petit feu comme j'ai cru l'entendre. Non ce message n'est pas a caractère méchant ou revanchard. Les mots passent, ce ne sont pas des actes à part entière. Ils glissent. Point.

Les actes, se sont les preuves d'amour avec ma fleur. Les faits se sont nos sourires, nos projets, un temps impétueux, aujourd'hui plus posés mais non moins immenses. Les preuves, c'est un couple qui tient malgré toutes les épreuves de notre courte histoire, au delà des tensions, par dessus les doutes, non chancelant face à l'éloignement. Nous, j'en suis fier.

Me voilà enfin en stage, un stage qui a mis deux mois de plus que mes autres camarades à commencer, pour finir à accepter des tâches un peu plus administratives de temps en temps, mais aussi le plaisir d'évoluer dans un milieu que j'affectionne. Des iPod Touch partout autour de moi (ce jour, 3, rien que sur mon bureau) des iPhones et des BlackBerry ... C'est la fiesta numérique !
Et pour le moment mes activités journalistiques tournent autour de la rédaction d'articles pour deux blogs, dont un en anglais ! Voilà de quoi me rendre plus confiant et bien plus adroit dans la langue de Shakespeare ! Et vraiment, traiter de l'actualité mobile et numérique de façon générale (tant que ça a un lein avec l'activité de ma boite) ça renforce son vocabulaire. Si avec ça je cartonne pas à la rentrée, j'ai plus qu'à faire un séjour linguistique chez ceux qui roulent à gauche ...

L'éloignement ne tue pas les sentiments. Voilà trois mois que je suis revenu vivre à Clichy, et cela n'a pas entamé mon histoire avec mon ange. C'est rassurant, et encourageant. On peut voir encore plus loin grâce à cette nouvelle étape de franchie. La distance donc, elle n'use pas, bien au contraire, elle rend les retrouvailles encore meilleures. Chaque instant partagé à nouveau redevient un privilège. On comprend mieux la chance que l'on a eu pendant plus d'un an, mais aussi le fait que notre choix est le bon.

Les difficultés de l'automne ont laissé place à un hiver tendu, quasi fatal. Une respiration dans nos vies s'imposait. J'ai suffisamment eu peur pendant des semaines, je sais gouter le bonheur d'un amour simple. Une autre différence avec nos débuts : ne pas brûler les étapes, avoir des projets à notre portée. La comparaison n'a rien de romantique, mais l'amour (et la vie) n'est pas un sprint, mais une course d'endurance. Notre amour a passé un cap de maturité. Pas le dernier certes, mais le genre qui permet de relativiser les problèmes, garder une distance lors des engueulades. Les bons moments, les magnifiques, et les uniques, voilà ce que l'on préfère retenir. On s'en construit mois après mois. On s'aime, et malgré les embuches on reste très attaché l'un à l'autre. Nous avons presque quatre ans d'écart, mais moins d'un battement de cœur entre nous. J'aime … Je t'aime

Ces derniers temps je peux pas dire que j'ai eu des facilités pour me concentrer sur mes obligations. Pas mal de doutes depuis quelques semaines, et pas mal de peurs ... Mais aux dernières nouvelles j'essaye de renouer un contact durable avec ceux qui m'ont aimé et qui j'espère m'aime encore assez pour ne pas me rejeter, mais je n'oserais jamais demander plus que ce qu'ils pourront faire. Accepter de me revoir, et demander une explication sur mes actes serait déjà énorme. Pas sûr que ça aide pour avancer, mais au moins tenter d'atteindre une paix intérieure.
En voyant que tous les points de ma vie ne peuvent s'accorder en même temps, comme une sorte de balance penchant soit trop d'un côté soit trop de l'autre, je me dis que c'est pour l'instant mission impossible. J'ai vécu tant d'années seul, mais vu comme quelqu'un sur qui on peut compter aux yeux de ma famille et de mes amis, nombreux il y a encore 1 an et demi. Depuis ce temps je ne suis plus seul dans ma vie, mais autour de moi j'ai l'impression que j'ai provoquer un incendie social. Plus personne, ou presque.
L'attachement maternel, et quelques contacts avec qui je n'avais pas de lien assez profond pour être trop gêné par des retrouvailles aident à remonter la pente, mais il y a quelques cicatrices que je n'arrive pas à appréhender.

Même avec un miroir, je refuse de te partager. Chairil Anwar J'ai perdu tout le temps que j'ai passé sans t'aimer... Le Tasse Lorsque vos yeux me parlent, c'est mon coeur qui vous écoute. Michel Vaner Qu'est-ce que ton baiser ? - Un lèchement de flamme. Victor Hugo Je n'ai tant de chance que parce que tu m'aimes. Johann Wolfgang von Goethe Quand on aime quelqu'un, c'est effrayant comme on pense peu aux autres... Marcel Pagnol Le baiser est la plus sûre façon de se taire en disant tout. Guy de Maupassant Un baiser fait moins de bruit qu'un canon mais l'écho en dure plus longtemps. Oliver Wendell Holmes On est sûr d'aimer quand on est jaloux, comme on est sûr de vivre quand on se fait mal. Henri Duvernois L'amour fait naître la jalousie, mais la jalousie fait mourir l'amour. Christine de Suède Dans toutes les larmes s'attarde un espoir. Simone de Beauvoir

Un petit article, dédié à mon ange, qui après avoir cherché son alternance pendant un peu plus de 6 mois a enfin décroché le cocotier !!! Je sais ce que c'est que de chercher pendant une éternité sans trouver, on désespère, on n'y crois plus du tout, la moindre occasion ressemble à une promesse, et quand cela n'aboutit pas c'est forcément retomber encore plus bas qu'avant.

6 mois après, enfin du soulagement, tout le monde est heureux pour toi mon cœur !!! Les soucis s'envolent enfin, on va pouvoir respirer, dans notre vie de tout les jours. J'espère que les derniers jours difficiles sont derrières nous, et que l'on est repartit sur des bases encore plus fortes qu'à nos débuts !

C'est toi qui m'a poussé il y a un an maintenant à reprendre mes études, pour avancer toujours plus loin dans la vie (tant que c'est avec toi), maintenant c'est à moi de te dire que tu es également faites pour aller là où tes motivations t'emmèneront.

Je t'aime.

Après Halloween sans voix il y a deux ans, après Halloween au travail à Chérie j'ai Rétrécie le Public l'an dernier, voilà enfin un soir d'Halloween fêté en costume et pour le plaisir. Un costume préparé au dernier moment, après un imprévu de dernière minute. La possibilité pour mon amour et moi même d'être costumé façon Belle Epoque s'est évaporée, pour elle ce fut une tentative de ressemblance avec Mrs Lovett du film Sweeney Todd, et pour moi ... bah pas grand chose. Juste ma tenue sérieuse de quand je travaillais au bureau, plus les lunettes de soleil, plus une cravate gracieusement prêtée par ma tendre. Puisque je n'avais pas moi même d'idée précise de mon costume, on m'a tour à tour appelé James Bond, l'Agent Smith, un Men in Black voire Mr Smith.

A part ça la soirée elle même fut très bonne, pas mal de bons délires, et encore merci à Disney d'avoir décidé d'utiliser autant de lumières, car même avec mes lunettes de soleil j'y voyais presque comme en plein jour ! Par contre laisser les deux parapluies à la chambre d'hôtel fut l'erreur fatale (digne de Windows) de la soirée. En effet, à vouloir partir très tard du parc, c'est prendre le risque (et on l'a bien pris dans la tronche le risque) de rester plus d'une heure sous une bonne pluie, sans veste, dans le froid, à attendre, puis à marcher comme des bagnards jusqu'à la chambre.

Et pour finir je reviens en arrière, parlons de la soirée en elle même. Disney avait mis pas mal de moyen cette année à mes yeux, les gens étaient également bien costumés. Mentions Spéciales à la troupe de Star Wars, au Davy Jones plus vrai que nature, ainsi qu'à la Reine des Neiges de Narnia plus réussie que la version officielle Disney, accompagnée de Lara Croft herself. À nous 5 on a bien dû voir l'Halloween Show Time 4 fois (ça lasse), attendu le feu d'artifice une bonne demi heure, flâné dans les boutiques autant de temps si ce n'est plus. Par contre avec autant de monde, avoir fait Phantom Manor malgré tout est une gageure, mais plus on est de fous et plus le temps passe vite.